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minono Membre (34 ans)	Post� le 18/02/2007 � 14:51 Bonjour , J’ai un commentaire composée à faire .alors j’ai trouver quelques axes de lectures et j’ai fait la première .pouvez-vous faire des modifications sur ce que j’ai fait si ça na va pas .et sur aussi les axes de lectures que j’ai trouver . Merci de bien vouloir m’aidez Robert Desnos, Destinée arbitraire(1943-1944) Engagé dans la résistance, Robert Desnos a été déporté et est mort dans le camp de concentration de terezin, en 1945,peu de temps avant la libération de ce camp par les armées alliées .Le poème suivant, publié le 14 juillet 1943 dans la revue l’honneur des poètes, évoque son engagement. Ce cœur qui haïssait la guerre Ce cœur qui haïssait la guerre voilà qu’il bat pour le combat et la bataille ! Ce cœur qui ne battait qu’au rythme des marées, à celui des saisons , A celui des heures du jour et de la nuit, Voilà qu’il se gonfle et qu’il envoie dans les veines un sang brûlant de salpêtre et de haine. Et qu’il mène un tel bruit dans la cervelle que les oreilles en sifflent Et qu’il n’est pas possible que ce bruit ne se répande pas dans la ville et dans la campagne Comme le son d’une cloche appelant à l’émeute et au combat. Ecoutez ,je l’entends qui me revient renvoyé par les échos. Mais non, c’est le bruit d’autres cœurs, de millions d’autres cœurs Battant comme le mien à travers la France. Ils battent au même rythme pour la même besogne de tous ces cœurs, Leur bruit est celui de la mer à l’assaut des falaises Et tout ce sang porte dans des millions de cervelles un même mot d’ordres : Révolte contre Hitler et mort à ses partisans ! Pourtant ce cœur haïssait la guerre et battait au rythme des saisons, Mais un seul mot :Liberté a suffi à réveiller les vielles colères Et des millions de français se préparent dans l’ombre de la besogne Que l’aube proche leur imposera. Car ces cœurs qui haïssait la guerre battaient pour la liberté au rythme Même des saisons et des marées, du jour et de la nuit. Introduction I)la tonalité poétique A)ses sentiments personnels B)le rapport avec la nature II) l’engagement dans la résistance A)participation à la guerre B la violence conclusion A)ses sentiments personnels Tout d’abord, le terme < cœur > revient plus de 8 fois dans tout l’extrait, nous montrant symboliquement les expressions de ces sentiments.au début le « cœur » est plus personnel, il est destiné au poète, le pronom démonstratifs « ce » le prouve.vers la ligne « 11 » « d’autres cœurs « « de millions d’autres cœurs » évoque plutôt les autres soldats qui combattent dans la résistance. La présence du verbe haïr et du verbe battre(haïssait), (battre) nous faisons ressentir ce qu’il éprouve comme de la haine, de la colère mais aussi de l’amour bat pour. ON remarque les champs lexicaux du physique ("sang", "cervelle", "veines", "oreilles)ainsi que les battements de cœur au long de cet extrait.on perçoivent les sensations, la violence ressentit par le poète au cours de cette guerre.

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minono
Membre
(34 ans)

Post� le 18/02/2007 � 14:51

Bonjour ,
J’ai un commentaire composée à faire .alors j’ai trouver quelques axes de lectures et j’ai fait la première .pouvez-vous faire des modifications sur ce que j’ai fait si ça na va pas .et sur aussi les axes de lectures que j’ai trouver .
Merci de bien vouloir m’aidez
Robert Desnos,
Destinée arbitraire(1943-1944)

Engagé dans la résistance, Robert Desnos a été déporté et est mort dans le camp de concentration de terezin, en 1945,peu de temps avant la libération de ce camp par les armées alliées .Le poème suivant, publié le 14 juillet 1943 dans la revue l’honneur des poètes, évoque son engagement.

Ce cœur qui haïssait la guerre

Ce cœur qui haïssait la guerre voilà qu’il bat pour le combat et la bataille !
Ce cœur qui ne battait qu’au rythme des marées, à celui des saisons ,
A celui des heures du jour et de la nuit,
Voilà qu’il se gonfle et qu’il envoie dans les veines un sang brûlant
de salpêtre et de haine.
Et qu’il mène un tel bruit dans la cervelle que les oreilles en sifflent
Et qu’il n’est pas possible que ce bruit ne se répande pas dans la ville
et dans la campagne
Comme le son d’une cloche appelant à l’émeute et au combat.
Ecoutez ,je l’entends qui me revient renvoyé par les échos.
Mais non, c’est le bruit d’autres cœurs, de millions d’autres cœurs
Battant comme le mien à travers la France.
Ils battent au même rythme pour la même besogne de tous ces cœurs,
Leur bruit est celui de la mer à l’assaut des falaises
Et tout ce sang porte dans des millions de cervelles un même mot d’ordres :
Révolte contre Hitler et mort à ses partisans !
Pourtant ce cœur haïssait la guerre et battait au rythme des saisons,
Mais un seul mot :Liberté  a suffi à réveiller les vielles colères
Et des millions de  français se préparent dans l’ombre de la besogne
Que l’aube proche leur imposera.
Car ces cœurs qui haïssait la guerre battaient pour la liberté au rythme
Même des saisons et des marées, du jour et de la nuit.
Introduction

I)la tonalité poétique
     A)ses sentiments personnels
B)le rapport avec la nature

II)  l’engagement dans la résistance
A)participation à la guerre
B la violence

conclusion

A)ses sentiments personnels

Tout d’abord, le terme < cœur > revient plus de 8 fois dans tout l’extrait, nous montrant symboliquement les expressions de ces sentiments.au début le « cœur » est plus personnel, il est destiné au poète, le pronom démonstratifs « ce »  le prouve.vers la ligne « 11 » « d’autres cœurs « « de millions d’autres cœurs » évoque plutôt les autres soldats qui combattent dans la résistance. La présence du verbe haïr et du verbe battre(haïssait), (battre) nous faisons ressentir ce qu’il éprouve comme de la haine, de la colère mais aussi de l’amour bat pour. ON remarque les champs lexicaux du physique ("sang", "cervelle", "veines", "oreilles)ainsi que les battements de cœur au long de cet extrait.on perçoivent  les sensations, la violence ressentit par le poète au cours de cette guerre.

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